Jacques Averil mène une vie oisive qui le plonge dans la lassitude et la mélancolie. Lorsqu'il apprend le suicide de son père, banquier ruiné par une sombre spéculation sur le minerai islandais, il décide de se prendre en main. Un vieil ami de son père lui offre l'occasion de s'engager comme matelot à bord d'un terre-neuvas. Sur le chalutier règne la loi du plus fort, voire du plus féroce.