Mercuriales
«Cette histoire se passe en des temps reculés, Des temps de violence. Partout à travers l’Europe une sorte de guerre se propageait. Dans une ville il y avait 2 filles qui vivaient…»
Dans un récit distendu, semblant tissé de hasards comme si toujours une image en amenait une autre, deux jeunes femmes travaillent dans deux tours évoquant une mythologie lointaine. Ancien et moderne, fiction et réalité, capitalisme et sens : les dualités sont légion dans cet endroit manifestement guetté par l’effondrement. Indifférente aux mines sombres qui l’entourent, une petite fille aux lunettes qui clignotent danse passionnément devant une banderole où est écrit « L’amour ne passera jamais ».