D'un côté, la mort d'Adama Traoré, la blessure grave infligée à Théo L., les violences à l'encontre de citoyens lors des manifestations contre la "loi travail", les débordements, les bavures. De l'autre, les cocktails Molotov brûlant grièvement un policier, l'attentat de Magnanville et son couple de fonctionnaires assassinés à leur domicile et, au quotidien, les insultes, les crachats, la violence, la déconsidération, la hiérarchie qui, souvent, reste muette et le taux de suicides, de 36 % supérieur à la moyenne nationale…